L’avant-programme – On ne dit pas j’ai crevé

Si c’est son fils qui lui a en quelque sorte soufflé l’idée d’On ne dit pas j’ai crevé, Enora Boëlle s’est aussi penchée sur son expérience personnelle de la mort pour imaginer ce spectacle.

Maladies, accidents ou suicides, la mort s’est très tôt imposée dans la vie d’Enora Boëlle comme un élément qu’elle a dû apprivoiser. 

C’est en partant de ce matériau autobiographique que l’auteur Robin Lescouët a écrit On ne dit pas j’ai crevé pour Enora Boëlle. À ces expériences de vie, se sont ajoutées des recherches et des réflexions communes sur la place qu’occupe la mort dans nos vies. 

Ce n’est pas la première fois qu’Enora Boëlle utilise sa vie comme “matière première” de ses spectacles. En 2017, dans J’ai écrit une chanson pour MacGyver, elle collectait ses souvenirs d’adolescence.